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Ma vie, mes amours, mes déceptions
30 juin 2006

Les 40 ans de Fifi

VENDREDI 23

Fifi (Philippe) est ami d'enfance, on se connait depuis la meternelle et il habite juste à côté de mes parents. Le 24 Juin, il fêtait ses 40 ans. Comme le temps passe! Il avait invité plus de 80 personnes. Bien que tout le monde ne pouvait pas venir, nous étions quand-même 74 au rendez-vous. A la salle des fêtes de Vitrey, le village à côté du nôtre. La salle y est plus grande.

Je suis donc descendue en France le Vendredi, après être passée chercher Aurélie et Dominik.Il faisait très chaud, ce n'est pas très agréable pour conduire, surtout quand on a pas la clim par des chaleurs pareilles, et les fenêtres ouvertes, ce n'est pas toujours évident pour ceux qui se trouvent à l'arrière, car c'est insupportable pour les oreilles de ceux qui se trouvent à l'avant, surtout pour moi qui conduit.

On s'arrête à loa Station essence Aral du Luxembourg, comme d'habitude, pour y acheter des cigarrettes et des dvds vierges (toujours moins chers là-bas) et puis il y a les fameux sandwisch au thon. Tellement fameux que c'est rare qu'il y en ait encore en fin d'après-midi, mais avec un peu de chance.... Moi et les filles ont en raffollent. Et Aurélie n'en avait pas mangé depuis longtemps. Cette fois-ci, elle a eut de la chance, il n'en restait plus qu'un. Nous, on s'es contenté de ceux au salami, qui sont excellents aussi. On reprend la route il devait être 17 heures.

On roule, on roule et puis je fais un peu la fofolle avec Morgane qui se trouvait côtè passager. Je dépassais tous les routiers, et j'essayais de voir à quoi ils ressemblaient. Quelques uns nous klaxonnaient, d'autres faisaient des appels de phares. Mon klaxon ne marche plus, alors pas de bol. On rigolait bien jusqu'à un moment où je m'appercois que là où nous nous trouvions, l'autoroute ne me disait plus rien. Je regarde les allentours, mais ca ne me disait rien du tout. En déconnant, j'avais fini par manquer ma sortie. Ce qui n'était jamais arrivé jusqu'ici. On se trouvait direction Strassbourg, Lunéville. Bon, pas grave. Je prendrais la première sortie pour reprendre l'autoroute dans le bon sens. Pas de panique. Il devait être environ 18 heures 30 quand à l'improviste je décide de partir direction Epinal et de rendre visite à ma soeur Céline. Pourquoi pas? En plus ca nous donnait l'occasion de voir les petits chats (dont un pour moi).

Vers 19 heures, j'écris un sms à Céline en lui demandant si elle aimait les mauvaises surprises ;-). Elle a bien entendu compris et répond qu'elle nous attendait. Ils nous fallait encore à peu près une petite heure jusque chez elle.

Enfin, nous voilà arrivé, il était temps. Fanny et Joris étaient content pendant que Céline se demandait ce qu'ele allait bien nous faire à manger. De cette chaleur, elle n'avait pas besoin de trop se casser la tête, une casserole de pâtes et poissons panés, ca suffisait largement. Nous étions quand-même 8 à table, ca fait du monde quand ce n'est pas prévu. De plus, chose que je ne savais pas, Céline devait aller chercher son amie d'enfance Magali et son copain à la Garre à Vesoul à 22 heures 30. Ils venaient passer le week-end. Ils arrivent de Paris, donc Céline voit très rarement Magali, alors elles étaient contentes toutes les deux.

Quand aux chatons..., que dire.... ils sont trop mignons! Je pense que je vais pouvoir rammener le mien après le 14 juillet.

A 22 heures, ma soeur fille à la garre qui se trouve à une 30aines de kilomètres et nous, nous allons direction Chauvirey chez mes parents. On manquait le match France-Togo. Ils devaient en être à la deuxième mi-temps maintenant. Tant pis.

Avant que les routes nous séparent, Céline s'arrête au croisement, ouvre la vitre. Je fais de même. Elle me dit qu'elle écoute la radio et que pour l'instant la France et le Togo sont à 0-0. Je lui répond que la France allait bien en mettre un. Bref. On se quitte cette fois-ci et à mon tour je mets la radio. Et super, 1 but pour la France, puis arrive le deuxième but. J'étais fine folle dans la voiture.:-)) Dominik a dû se poser de sérieuses questions.

On arrive enfin à destination vers 22 heures 45. Ma mère attendait mon père. A peine on est arrivé que le téléphone sonne, c'était mon père qui dit qu'il sera à la maison à minuit.

SAMEDI 24

Après une bonne nuit de sommeil, le landemain matin, ma mère nous dit que mon père s'était fait mal à la cheville en sautant du plateau de son camion et qu'il a roulé 500 km comme ca pour rentrer, sans avoir rien dit le soir avant au téléphone à ma mère afin de ne pas l'inquiéter. Courageux, mais 500 km avec un mal de chien à la cheville, faut le faire. Bref, résultat, il doit porter une atèle. Pauvre papa!

Nous sommes donc aujourd'hui le samedi 24, anniversaire Fifi. Vers 10 heures du matin, arrive ma belle-soeur Sandrine pour prendre des nouvelles de papa. Elle devait aller aider Philippe à la salle. Nettoyer, placer les tables, décoration,.... Je lui dis que je vais y aller aussi. On n'est jamais de trop. On allait pas mourrir de froid en tout cas.

Le plus difficile, c'était d'essayer de placer les gens. C'est ce qui a pris le plus de temps je pense. Tout le monde ne cause pas avec tout le monde, d'autres ne parlent plus du tout avec d'autres, pas facile....

A 20 heures, les invités commencaient à arriver.On boit le ponch préparé par Fifi, délicieux. Les petit fours fait maison aussi. On s'installe dehors pour l'apéritif, il y faisait moins chaud qu'à l'intérieur et comme il fallait fumer dehors.... Ce qui n'est pas non plus une mauvaise chose, car nous sommes beaucoup à fumer, alors manger dans un nuage de fumée, non. L'inconvénient, c'est que nous étions plus souvent dehors que dedans. Mais bon.

Ce que Philippe avait commandé chez le traiteur était délicieux. Des salades, Poulet froid (sacrés morceaux), rosbif froid.... Il y en avait pour un régiment.Soit on ne prévoit jamais assez, soit toujours de trop.

On s'intalle chacun à notre place, on mange, on disute, on déconne, on se marre, quelques uns arrivaient à danser un peu, mais l'ambiance n'est venue que plus tard, beaucoup plus tard. Vers les 6 heures du matin. Il ne restait plus grand monde, mais il restait les meilleurs, les habitués.

DIMANCHE 25

Suite...

Frédéric, mon frère et Hervé, le beau-frère de Philippe ont bu à eux deux une bouteille de goutte. Mais je ne peux pas raconter tout ce qui s'est passé, c'était une grande histoire d'amour entre eux :-))) Rien qu'en écrivant et en y repensant, je suis morte de rire. Avec Frédéric, s'est toujours comme ca, le grand déconneur ivre. Quand à Hervé, ils s'y sont mis à 4 pour le ramenner chez sa belle-mère, il devait être 8 heures 30 du matin. Mémorable, on n'en avait mal au ventre à force de rire.

A 10 heures 15, on décide de rentrer chez nous. Oui, une nuit blanche. Mais ca allait, sauf que je devais rentrer en Allemagne et prendre la route dans l'après-midi. Les enfant avaient école lundi. Mais ma mère n'a pas trop voulu que je roule par cette chaleur et sans avoir dormi. Je l'avais pourtant déjà fait. Mais je n'ai pas chercher à comprendre ou À contredire. Nous rentrerons donc lundi dans la journée.

L'anniversaire continuait le midi. Il y avait assez de restes. Nous étions encore une bonne 40aine de personnes à revenir. En fin d'après-midi, le fête se termine. On débarasse, on range, on nettoye la salle et chacun prend un peu de ce qui restait encore du buffet froid. Il y avait encore à manger pour une paire de jours, ca aurait été dommage de tout jeter, et Philippe ne pouvait pas tout mettre au congélateur, il restait beaucoup de trop. Entre-temps, Etienne, qui avait de son côté aussi un aniversaire (une belle-soeur, Denise, fêtait elle aussi ses 40 ans) est passé prendre Aurélie et Dominik pour les ramener chez eux. Dominik avait un entretien d'embauche le lundi, il fallait donc qu'il rentre.

Après que la salle soit rendue plus propre qu'elle ne l'était au départ, tout le monde dit au revoir à tout le monde, et voilà, chacun rentre chez soit.

Dans l'après-midi, je revois Fifi et lui demande des nouvelles d'Hervé qui nètait pas revenu le midi. Il me dit qu'il revenait justement de chez ses beaux-parents et que Hervé se trouvait dans un état comateux. Blanc comme neige, il avait vomi. On se moquait un peu. Il n'a pas l'habitude de boire et ce devait être sa première cuite. Ah là là, le pauvre, il ne va se rappeller de rien! Mais qu'est-ce qu'il nous a fait rire en tous les cas.

LUNDI 26

Que ca fait du bien de dormir! On partirait après avoir mangé. Il faisait moins chaud, c'était déjà ca. On prépare les affaires, on essaye de ne rien oublier. Je remplie le coffre de la voiture.

A 18 heures 30 environ, Morgane, Grégory et moi étions À la maison.

Week-end sympathique, génial. Prochaine fois, 14 juillet.

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